Album : Muscle Museum / Random 1-8 Titre alternatif : Instant Messenger Enregistrement : 1999 Compositeur : Matt Bellamy Producteur : John Leeckie Nombre de performances : 12 (112e) Dernière performance : 2000 |
INFORMATIONS
Une vieille chanson de Muse à propos des relations en ligne (avec aussi une information sur le débit internet de l’époque (« fifty bytes per second« ). La toute première version disponible sur Muscle Museum EP s’appelait Instant Messenger. On peut y entendre la voix d’AOL disant « You’ve got post » (à 0:24). Mais AOL a fait pression pour que cela ne soit pas sur la version finale du titre qui fut renommé en Pink Ego Box (qui serait le nom de leur premier tour bus). Cette version est néanmoins disponible dans Origin of Muse (CD2).
LIVE
Il y a aucun enregistrement video disponible mais on dispose de cet enregistrement audio du titre joué au New Morning (Paris) en 1999.
PAROLES / TRADUCTION
It’s gonna be okay
Can’t afford another day
At fifty bytes per second
I’ve never seen your face
I’ve never heard your voice
But I think I like it
When you instant message me
With a promise
I can feel it
I can tell you’re gonna be
Just like me
My eyes are gone strain
My heart is feeling pain
At fifty beats per second
I’ve never seen your eyes
I’ve never heard your lies
But I think I like it
When you instant message me
With a promise
I can feel it
I can tell you’re gonna be
Just like me
Just like me
You said
Ça va aller
Je ne peux pas me permettre un jour de plus
A cinquante bits par seconde
Je n’ai jamais vu ton visage
Je n’ai jamais entendu ta voix
Mais je pense que j’aime ça
Quand tu m’envoies un message instantané
Avec une promesse
Je peux le sentir
Je peux te dire que tu seras
Juste comme moi
Mes yeux vont se fatiguer
Mon cœur ressent la douleur
A cinquante battements par seconde
Je n’ai jamais vu tes yeux
Je n’ai jamais entendu tes mensonges
Mais je pense que j’aime ça
Quand tu m’envoies un message instantané
Avec une promesse
Je peux le sentir
Je peux te dire que tu seras
Juste comme moi
Juste comme moi
Tu as dit